Jeudi 17 octobre 2019 :

Cabaret « L’Âne qui rit »

 

   Enfin une sortie pour les « lève-tard » ! Effectivement, avec un départ vers 10h30 chacun a pu profiter du début de la matinée. En ce 17ème jour du mois nous allions dans le 17ème (sic le président!). 59 adhérents sont montés dans ce grand car conduit par André notre chauffeur du jour (un peu rouspéteur face à la circulation!) qui nous a amené, juste à l'heure, à proximité de la rue Laugier. En effet, vu la configuration des lieux, il n'était pas possible d'y accéder en car. Cela nous a permis de traverser un bout de la rue Poncelet entre les étals de fruits et légumes, poissons et autres. Nous avons été accueillis par Thierry (notre prestataire) qui nous a guidés puis installés. Derrière une façade en travaux nous avons découvert une salle très belle, surprenante et contemporaine dans son style avec cette couleur noire brillante, ces lumières changeantes et le mobilier rouge et noir du styliste international Philippe Starck. La salle n'étant pas très grande (comme beaucoup de cabarets) nous étions que notre groupe.

Une fois tout le monde installé, le personnel a servi le repas qui était très bien avec un plat chaud vraiment chaud ! A la fin de celui-ci le spectacle à commencé.

 

   4 artistes différents nous ont fait participer à leurs numéros, chose facilitée par la taille de la salle. La scène n'est pas très grande et est en réalité un ascenseur par lequel arrive la vedette.

En premier, Tony Marco a raconté des histoires humoristiques avec un accent du sud bien prononcé. Ensuite se fut au tour d'un magicien-comique qui après quelques tours de passe-passe a électrisé la salle avec une chaise et un grelot, enfin c'est surtout moi qui fut électrisé ainsi que Guy notre président, heureusement il n'y a pas eu trop de boulettes (de papier bien sûr!). Philippe Lecomte a pris le relais avec son âne et son numéro de ventriloque. Là aussi nous avons apprécié la prestation de 2 adhérents qui ont été ses complices sur scène. William Klank a terminé le spectacle par une prestation impressionnante, jonglant entre imitation de voix, d'instruments de musique et de jeux de mots.

 

   Le retour se fit dans les habituels embouteillages parisiens tant que nous fûmes sur le périphérique, la traversée du bois de Vincennes se faisant sans encombres pour une arrivée vers 19h00.

 

Gilles Briaux.

 

Coût : 70 €

 

 

Photos : Anne-Marie Briaux, Gilles Briaux, Martine Colombo, DVD Âne qui rit